Année 2000
Après le recueil de plus de 51 mille signatures pour sa constitution, le mouvement MIRA a été reconnu, par l’État colombien, comme un organisme juridique légal. Treize ans plus tard, sa gestion et le travail de ses représentants, montre que l’impossible peut être une réalité avec beaucoup d’effort et compromis.
Le mouvement politique MIRA est né du besoin d’apporter des valeurs à la politique, laissant de côté les pratiques traditionnelles telles que l’achat de votes, les alliances malhonnêtes entre les politiciens et le vagabondage politique. Nous proposons un style alternatif de gestion politique, lequel cherche à résoudre de situations problématiques de la société en utilisant le pouvoir publique.
Année 2002
Alexandra Moreno Piraquive a été élue sénatrice de la République; une voix féminine au congrès, laquelle, avec sa gestion et sa participation, a réussi la validation de trois lois très importantes pour le pays et les colombiens à l’étranger. Dans ce scrutin, le MIRA a eu 81.061 votes, le chiffre le plus haute ou le congrès cette année-là.
Dans sa lutte permanente et avec le soutien national de beaucoup de personnes, le MIRA s’est consolidé comme un mouvement du peuple. Ainsi, il a participé à plusieurs manifestations contre l’abus sexuel d’enfants et la violence envers eux, refus d’augmentation du prix des services publiques du domicile, un recueil de signatures pour présenter l’initiative populaire des services publiques, une rencontre de femmes, entre autres.
Année 2004
Carlos Alberto Baena Lopez a été, à nouveau, élu député de Bogota.
Année 2005
En novembre, le député Baena, a eu une mention positive de la part de la maison d’édition El Tiempo, la Fondation Corona et le Bureau de Commerce de Bogota. Il a été nommé comme le meilleur député de Bogota. Il a eu cette mention cinq fois consécutives.
Année 2006
Alexandra Moreno Piraquive a été relue comme sénatrice et réussi la consolidation de l’équipe MIRA au congrès de la république grâce au dépassement de la barrière de la réforme politique. Les membres du groupe ont été élus par vote populaire : le sénateur Manuel Virgüez et la représentante au bureau de Bogota Gloria Stella Diaz Ortiz.
Année 2007
Le mouvement MIRA a réussi à élargir sa représentation politique au niveau du territoire avec le positionnement d’un maire à Calarca, trois députés dans les assemblées départementales de Valle, Risaralda et Quindio, 35 députés municipales et 264 leaders communautaires dans les équipes d’administration locale dans tout le pays.
Année 2008
Le député Humberto Quijano Martinez, a accompagné la gestion du député Baena en exposant le travail de l’équipe politique du moment, il confirme, donc, les principes d’union et travail en équipe du Miraisme. Plusieurs projets ont été validés par l’État grâce à leur travail, tels que la Politique Publique de la Jeunesse et des personnes âgées, le Programme d’Égalité d’Opportunités, Bogota Bilingue l’Inventaire du Patrimoine Culturel de la Ville et la régulation du fonctionnement des foyers gériatriques, entre autres.
Le 21 octobre, Le MIRA a été premier dans le ranking d’égalité de genre en politique. Ceci est une mention conférée par les Nations Unis, ce qui met en évidence le désir du mouvement de développer des actions affirmatives garantes du soutien collectif et réciproque entre hommes et femmes.
Ayant comme intermédiaire le président du mouvement, Mr Baena, le MIRA s’est prononcé dans les médias, afin de montrer aux colombiens qu’il est possible de faire politique autrement. Nous avons parlé du bon travail des représentants du MIRA dans les espaces politiques de l’État. Notre équipe politique a été hors des enquêtes judiciaires sur Parapolitique et de corruption.
Parallèlement, la sénatrice Piraquive s’est positionnée comme une des meilleures conseillères gouvernementales du pays. L’armée Nationale a reconnu comme bonne la gestion du Mr Virgüez, premier sous officiel de cette institution en devenir sénateur de la République. Concernant Mme Diaz, elle a été nommée par les journalistes nationaux comme la meilleure représentante du congrès de la République.
Dans l’enquête « Conseil comment va-t-on ? », au premier semestre pendant la notation individuelle, le député Quijano s’est distingué par son assistance à toutes les séances du conseil de Bogota. Au deuxième semestre, l’équipe MIRA de l’assemblée de Bogota a été nommée comme « la plus sage », grâce à son travail sérieux, ce qui caractérise les miraistes, en confirmant s loyauté et engagement par la réussite de bénéfices réelles pour la ville de Bogota et ses habitants.
Comme résultat des actions de l’équipe du congrès jusqu’au ce moment-là, nous avons eu la validation des lois qui font preuve d’une bon direction et gestion des représentants politiques : Suivi des traités internationales, programmes de protections des droits des personnes âgées, contrôle de la manipulation et importation des déchets dangereux, attention intégrale aux enfants victimes de violence sexuelle, exigence d’augmentation des peines en prison pour les délits sexuels, gestion de qualité des entités publiques, des bénéfices pour les employés du corps technique de recherche (CTI en espagnol) et le contrôle des parcs d’attractions mécaniques.
Année 2009
En avril, la sénatrice Piraquive a été la représentante du congrès colombien à la troisième Séance Parlementaire Ordinaire EUROLAT, qui a eu lieu à La Haye aux Pays-Bas.
Le 11 juillet, le député Baena, a participé dans la Conférence Interaméricaine des maires et autorités locales à Miami aux États-Unis. Lors de cet événement, il a parlé sur l’importance d’évaluer les politiques publiques à partir d’un modèle « Miraiste », lequel propose prendre en compte des critères de gouvernabilité, soutenabilité et égalité pour le développement du travail politique.
En juillet, Mr Baena a démissionné de son poste de député au sein du Conseil de Bogota et il s’est postulé au Congrès de la République. Puis, Carlos Eduardo Guevara s’est postulé au Conseil du district et il a été accepté. Depuis il participe activement dans la construction des politiques publiques en pro de la jeunesse.
En septembre, le MIRA a été présent en Expogestion en 2009. Pour la première fois en Colombie, un parti politique participe dans le forum le plus important de Colombie et la région des Andes. Dans cette opportunité, le mouvement politique MIRA a présenté son système de gestion Miraiste. Nous avons exposé ce modèle aux entrepreneurs comme un pont qui unie le public avec le privé.
Durant le premier semestre, le sénateur Virgüez a été le pionnier de la loi des rémissions 1243, avec laquelle plus de 130 milles colombiens de plus de 25 ans se sont bénéficiés, car ils sont obtenus leur livret militaire1.
Au neuvième anniversaire de cette collectivité, nous avons eu des avancées importantes à savoir : La création de l’école de gouvernance, laquelle a eu l’assistance des leaders de tout le pays et du monde. Ces personnes se sont postulées comme candidats officiels au scrutin populaire qui a eu lieu le 27 septembre. Pour la première fois dans notre pays, un parti politique a participé dans un scrutin populaire afin de choisir ses candidats au congrès de la République.
Dans cette occasion, on a réussi avoir un soutien de la citoyenneté avec 200 milles votes. De plus, étant pionniers de ce sujet, nous avons convaincu les jeunes de plus de 14 ans de participer au procès démocratique, et plus de 17 milles d’entre eux, ont voté en faveur du mouvement MIRA.
Concernant le thème virtuel et des réseaux sociaux, les résultats sont aussi positifs. Le site web du mouvement a été postulé dans le cadre du concours « Colombie en ligne », dans la catégorie « Meilleur site web politique ».
Année 2010
Afin de garantir la participation des hommes et des femmes en égalité de conditions, le mouvement MIRA a mis en place le système de la « fermeture éclair ». En effet, nous faisons une répartition de pouvoir de participation de 50/50. De cette manière, le MIRA confirme son engagement envers l’égalité de genre.
Le Miraisme a été reconnu dans tout le pays comme une manière de penser autrement en matière de politique, en expliquant comment les valeurs sont la base de l’analyse de prise de décisions politiques, ce qui permet un équilibre. Pour cela, le MIRA a eu le soutien de Manfred Max Neef, prix Nobel interactif en économie, qui a reconnu l’évolution du MIRA dans ces sujets-là.
Le parti s’est aussi adapté à la redevabilité économique, en le prenant comme une responsabilité de mission, systématique et permanente. Il s’est imposé de travailler en équipe vertical ce qui veut dire que tous les membres du parti sans distinction d’hiérarchie, connaissent sur des thèmes populaires et communs.
Dans le domaine administratif, on a réussi l’approbation de plusieurs projets de loi, parmi celles-ci la loi 1322, présentée par la sénatrice Piraquive. Cette loi autorise aux étudiants en droit de faire leurs stages dans des consulats et ambassades de Colombie, ce qui permet soutenir le travail consulaire et améliore l’attention au public à l’étranger.
La représentante au bureau de Bogota, Gloria Stella Diaz, a présenté le projet de loi 1326, qui propose d’augmenter les peines en prison aux conducteurs ivres qui provoquent des accidents de route. Aussi la loi 1275, qui étable la politique publique pour les petites personnes.
Tous les projets de loi précédent représentent un apport au pays du 57.3% dans l’activité législative, avec seulement 3 de 268 sénateurs.
La représentante au bureau de Bogota, Mme Diaz, a été nommée par plusieurs médias comme la politicienne « plus sage » du congrès, après avoir présenté 29 projets de loi à la législation entre 2009 et 2010.
La même année, l’équipe politique du MIRA au conseil de Bogota, a été défini, pour la troisième fois, comme le groupe avec la meilleure performance d’après l’enquête « Conseil comment va-t-on ? ».
À nouveau, nous nous sommes postulés au congrès avec une liste fermée, pour laquelle on a eu une croissance significative des soutiens pour le scrutin, avec 330 mille votes. Nous avons assuré les postes politiques au pouvoir avec Piraquive, Baena et Virgüez au sénat, ainsi que le poste au bureau de représentants avec Gloria Stella Diaz.
Ayant une diffusion politique particulière hors du pays, notre mouvement s’est postulé au bureau de représentants des colombiens à l’étranger, avec les candidats William Ocaña et Jorge Muñoz, qui se sont distingués par leur bon travail au niveau international.
Les élections du mars se sont caractérisées par la nouveauté d’élection des membres du Parlement des Andes. Le MIRA a postulé cinq candidats dans cet organisme. Cette fois-ci, nous n’avons pas réussi à être élus, mais nous avons eu plus de 500 000 votes, un chiffre significatif dans ce contexte.
Des nouvelles lois présentés par le MIRA ont été approuvées en bénéfice de la communauté. La loi 1383 qui a modifié le code nationale de la route au sujet des amendes, la loi 1385 qui lutte contre l’alcoolisme du fétus et la loi 1414, laquelle établie des mesures spéciales de protection et attention intégrale pour les personnes épileptiques. Cette loi a été proposée par le sénateur Virgüez.
Au niveau institutionnel, le mouvement s’est consolidé avec la création du Centre d’Études du Miraisme, un espace de recherche afin de promouvoir des solutions aux différentes problématiques du pays.
Notre site web a reçu le Prix du meilleur page officielle de « Colombie en ligne 2010 ». Ceci a été une initiative du Bureau Colombien de l’Informatique et des Télécommunications (CCTI en espagnol), la maison d’édition El Tiempo et le programme Gouvernement en ligne du Ministère de la Technologie, de l’Information et les communications (TIC).
Le 4 mars, l’Institut Républicain International, en partenariat avec la Corporation de Transparence pour la Colombie et le programme de Nations Unis pour le développement –PNUD, a publié les résultats des études d’opinion publique sur les partis politiques. Cette enquête a été faite par l’entreprise Invamer Gallup. Lors de cet événement, le chancelier décédé Augusto Ramirez Ocampo a dit : « Je considère que le parti MIRA est le meilleur organisé dans tout le pays ». Il a aussi fait référence au travail de ses représentants : « Chacun des représentants du MIRA fait bien son travail, rendent compte au parti de ses missions et ont une politique de parti unique ».
Année 2011
L’orientation politique du MIRA n’est pas définit comme une idéologie de gauche, centre ou droite. Son travail politique est focalisé sur l’indépendance solidaire et de proposition. Ceci en pro du bien-être de la population et pas pour défendre d’intérêts individuels. Pour le MIRA, la gouvernance des pays s’est dégénéré à cause des pratiques illicites. Face à cette réalité bureaucratique, nous proposons une « gouvernabilité thématique », qui donne de la transparence aux prises de décisions de l’État et priorise la méritocratie. Ces concepts appartiennent au Miraisme au moyen de la rénovation absolue. Cette proposition a été brevetée à l’ONU en Suisse.
À la fermeture de la législation, la loi 1468 sur la licence de maternité et la loi 1465 sur le système nationale des migrations ont été approuvées sous la gestion de Mme Piraquive.
Dans la même année, on a répandu diverses causes qui ont réussi la mobilisation de beaucoup de personnes dans tout le pays et au niveau international, qui les soutenaient.
C’est ainsi qu’on a reconnu et soutenu les projets suivants: TPS pour les colombiens aux États-Unis, le programme « Téléphone mobile : Un bénéfice pour tous », prix justes des carburants en Colombie ; des campagnes publicitaires telles que « Dit Oui à l’égalité d’opportunités », « Dit Non au racisme », « Motocyclisme sans accidents », « Comment conduis-tu dans la vie ? ». « Conduis ta vie », etc.
Dans l’intérêt d’augmenter notre représentation politique, le MIRA a participé dans les scrutins du 30 octobre avec ses liste de candidats pour des postes publiques aux hôtels du département, mairies, assemblées, conseils et équipes administratives locales dans tout le territoire nationale. Les listes du MIRA ont été constitués d’un 50% de femmes et 50% d’hommes.
Année 2012
Cette année a été pleine de projets et d’accomplissements. Notre équipe politique a tout fait pour représenter au mieux les intérêts du peuple colombien et pour défendre leurs droits. De ce fait, en 2012 nos représentants ont mis en place des lois telles que la loi 1482, qui punit économiquement et judiciairement des actes de discrimination quelconque en Colombie ; la loi 1554, qui sanctionne les établissements de jeux-vidéos qui laisse entrer des jeunes de moins de 14 ans, la loi 1503 qui rend obligatoire l’apprentissage du code de la route aux écoles publiques du pays, et la loi 1548, qui impose une amende et le retrait du permis de conduire à ceux qui refusent la preuve d’alcoolémie, entre autres.
Au congrès de la République, le MIRA a fait une gestion très importante en pro du bien-être des colombiens, avec l’aide de l’équipe Miraiste du sénat : Des actions pour la défense des droits de la femme et des enfants, contre l’abus sexuel et la violence ; promouvoir les droits des motocyclistes, des actions concrètes pour la qualité de vie des membres des forces armées, la loi contre la discrimination et le racisme, ainsi que des initiatives pour la sécurité dans la route et la restructuration du système de la santé colombien, entre autres.
Le travail régulier du MIRA au long de cette année, est une expression de sa propre philosophie : La politique s’agit de renforcer des relations d’amitié avec les autres et, du coup, on ne peut pas limiter ses liens aux périodes de campagne politique.
Nous considérons, donc, qu’un des éléments indispensables dans notre travail social et communautaire est notre groupe de presque 120 milles militants et volontaires. Ils sont la base de notre tout nouveau mouvement politique. Leur esprit d’engagement et amitié envers les citoyens est notre trésor, car c’est grâce à leur travail et persistance que le MIRA a réussi à être présent dans presque tout le territoire nationale, en donnant de l’aide, social, de gestion civique et politique effective.
Le scrutin populaire dans lequel plusieurs candidats miraistes ont été élus en 2012, a fait possible la bonne communication entre les leaders communautaires et les représentants politiques miraistes, afin d’évaluer et redéfinir les priorités dans la société.
Le mouvement politique MIRA est devenu le pionnier d’un outil technologique qui sert à faire des rapports publiques sur la gestion législative et des avancées des projets de loi en temps réel. Ceci est disponible pour les citoyens du commun.
Le 9 avril, le MIRA a rejoint la manifestation de la « Journée Nationale de la Mémoire et la Solidarité avec les Victimes du Conflit Armé », dans le but de soutenir les colombiens victimes de la guerre et faire appel à l’inclusion sociale.
Année 2013
Le 30 janvier, le président du MIRA, s’est exprimé face à l’annonce du gouvernement sur la régularisation de l’usage minimum des drogues synthétiques. Il a dit que cette mesure est peu développée car elle donne lieu à la légalisation des drogues en Colombie et pourrais motiver encore plus le marché illicite.
Le 2 février, la Direction Nationale du Mouvement Politique MIRA, selon les facultés données par le passage g de l’article 16 des statuts du mouvement, convoque ses membres à sa prochaine réunion massive nationale. Lors de cet événement, le MIRA a informé sur l’opinion publique et a fait plusieurs annonces importants dans le domaine de la démocratie nationale. Les jours, 23 et 24 janvier, la direction, les députés et les leaders régionaux de notre mouvement, se sont réunis, à Bogota, pour prendre de décisions concernant le scrutin législatif de l’année 2014.
Le 26 février, avec la participation et vote de plus de 580 membres du parti MIRA (90% en ligne et 10% présentiels, situés en 60 points au niveau national et 25 à l’étranger), le MIRA a pris des décisions importantes lors de l’événement massive. De plus, le parti a postulé certains pré-candidats sensés de participer dans les prochaines élections législatives du 2014.
Le 28 février, le président du MIRA, le sénateur Carlos Baena, se montre solidaire envers le travailleurs du café du pays, puis, il a fait appel au gouvernement national pour qu’on avance dans l’infrastructure des routes, de cette manière on contribue développement du travail et à surmonter la crise.
Le 6 mars, lors de l’événement « Ranking d’égalité entre les hommes et les femmes dans les partis politiques de Colombie en 2013» réalisé par le programme des Nations Unis pour le développement (PNUD), le MIRA s’est distingué par sa distribution égalitaire remarquable pour les femmes.
Le 9 mai, l’équipe du MIRA au congrès a fourni un projet de loi qui cherche à garantir l’accès aux bénéfices sociaux, éducatifs et de formation en productivité adressé aux paysans colombiens. De cette manière, on assure la productivité permanente du milieu rural et le bien-être des résidents. Le sénateur Baena s’est exprimé au sujet de cela et dit : « Il est temps que le gouvernement nationale augmente ses efforts pour améliorer la qualité de vie des paysans, lesquels, sont et seront l’axe de l’économie colombienne ».
Le 17 mai, avec la présence des représentants des institutions et partis politiques en pro de la démocratie, le mouvement MIRA a ouvert le Centre de Connaissances AXIOMA, une institution consacrée à la recherche. L’objectif principal du centre est de construire un modèle de développement alternatif basé sur l’idéologie Miraiste. Cet espace d’étude est indépendant, il a été fait pour créer des nouvelles idées et schémas dirigés au domaine public. Il est au service de l’innovation, l’amélioration, le renforcement et le soutien des politiques publiques et le développement en égalité. Aussi, on offre des connaissances professionnels et spécialisés dans les domaines social, économique, politique, communautaire, technologique et environnemental ; au niveau national et international. Lors de ce rassemblement, le MIRA a présente sa page web axioma.movimientomira.com, et a fait l’accompagnement de la sortie du programme « Le rôle des partis politiques et la construction des savoirs et la transformation de la culture politique ».
Le 18 mai, pour la première fois, la jeunesse Miraiste a créé un espace de participation pour des jeunes intéressés en promouvoir le leadership politique au pays, afin de construire et renforcer le projet de vie de chacun des assistants. Lors de ces événements, les jeunes ont exposé sur différents thèmes comme l’indépendance, environnement, emploi, service militaire obligatoire, éducation, etc.
Le 30 mai, lors du rassemblement nationale de femmes leaders, le MIRA a fait la mise en place du document CONPES 161 : Politique Nationale d’égalité de genre et le plan intégral de garantie de protection de femmes en cas de violence et pour sa vie libre. Le haut conseil de la présidence pour l’égalité d’opportunités pour les femmes, la directrice du programme présidentiel des droits humains, le directeur de l’institut de médicine légiste et le vice-ministre de l’intérieur ont été présents. Nous avons discuté sur l’investissement des 3.5 billions de pesos destinés au travail pour les femmes colombiennes. Nous avons décidé de diviser les ressources par régions et que l’investissement soit fait au niveau local. C’est pourquoi, tous les représentants politiques du MIRA ont aussi assistés.
Le dimanche 30 juin, dans les locaux du théâtre de la croix rouge d’Armenia, nous avons réunis presque 500 leaders de la jeunesse de la zone, lesquels ont exposé aux représentants du conseil national et de l’assemblée départementale diverses propositions focalisées sur la maîtrise de langues, l’environnement, l’emploi, le service militaire obligatoire, sports, etc. L’événement était en direct à la page web www.juventudesdelmira.com.
En outre, le sénateur Baena a signalé la décision de la Cour Constitutionnelle sur l’ouverture du 3% comme un acte démocratique correcte.
Selon la dernière enquête réalisée par le Centre National de Consultations, le 5% de la population colombienne partage et soutienne l’idéologie du mouvement MIRA. En termes de scrutin, ce pourcentage est en croissance actuellement et représente à peu près 500 milles personnes. De même, ce rapport montre que le MIRA a dépassé les préférences électorales comparé à d’autres partis politiques tels que Cambio Radical (3%) et Progresistas (2%), ainsi qu’il est en partielle égalité avec el Partido Verde (6%) et el Polo democrático (6%). Ainsi, le sondage réalisé au milieu du débat pré-scrutin sur l’ouverture du 3%, a montré que chaque jour, il y a de plus en plus de personnes qui sont partisans de l’indépendance et les résultats du MIRA.
Le 15 octobre, le mouvement politique MIRA a eu le prix « Colombie en ligne 2013 » pour le meilleur site web de politique et démocratie et pour le site web qui a eu le plus grand nombre de votes du public, dans tous les catégories. Ce concours est organisé par la maison d’édition El Tiempo, le MinTIC et le CCIT.
Le voici, 13 ans de travail dure et engagement avec les colombiens. Durant ce temps, le mouvement MIRA a réussi à se tenir dans ses valeurs et ses compromis puis, avancer dans tous les projets dans lesquels il participe. De même, nous tenons à notre position critique face à la corruption et l’abandon gouvernemental, car nous sommes indépendants dans tous les domaines. Nous cherchons seulement renforcer les compétences de l’individu afin de les mettre en œuvre au sein de la société.
C’est ainsi comme le mouvement politique MIRA prend conscience que, tout le travail fait doit continuer. L’équipe Miraiste a pour mission de continuer à positionner le parti comme un mouvement de valeurs et innovation, lequel travail pour améliorer les conditions de vie des individus et pour avoir une société en paix. Aussi, nous souhaitons avancer vers le bon exercice du contrôle politique régulier. Notre défi est de ne pas arrêter la construction de l’histoire du parti dans la vie politique du pays, en faisant des actions d’autogestion et en totale autonomie politique, ce qui permettra aux collectivités de prendre de décisions avec liberté et responsabilité, en bénéfice de tous. D’ailleurs, l’indépendance est la qualité qui nous définit le plus. Cela est évident avec les critiques que le parti fait au reformes politiques : La politique économique et d’exploitation de minéraux, la réforme de la santé, l’injuste prix de l’essence en Colombie et l’actuelle reforme à la justice.
Après une décennie des gestions, luttes et réussites, nous savons que le chemin est long et difficile, mais notre idéologie nous donne de l’espoir pour continuer à servir au bénéfice du peuple. C’est la raison pour laquelle notre slogan de campagne politique est : « L’impossible est encore réel ».
Année 2014
Cette année commence avec un défi très difficile pour notre mouvement, car nous sommes au période de scrutins et la stabilité de l’équipe Miraiste dans la politique est en jeu à cause de l’ouverture du 3%.
De plus, la poursuite politique commence. De la part des médias et autres institutions, on a mis en place, deux mois avant les élections au congrès, une campagne de diffamation contre le MIRA.
Le 9 mars 2014 a été une date clef pour le MIRA, car on la défini comme le point central de la campagne politique. Après la diffusion des résultats des scrutins, le MIRA fini les élections avec trois candidats positionnés au pouvoir politique : Carlos Eduardo Guevara pour Bogota, Guillermina Bravo pour la région du Valle et Ana Paola Agudelo à l’étranger. Nous avons donc, réussi à dépasser le 3% d’ouverture en représentation politique au pouvoir et nous avons conservé la personne juridique.
Cependant, lors de ces élections, le MIRA est obligé de commencer un procès judiciaire. Le sénateur et président du parti MIRA Carlos Baena a recueilli plus de 130 000 cartons comme preuve principale de la fraude aux élections du 9 mars. Il a, ensuite, dénoncé ce fait auprès des entités judiciaires correspondantes. En conséquent de ces événements, Mr Baena a déposé une demande de protection pour tous les militants du mouvement MIRA, auprès de la Commission Interaméricaine de Droit de l’homme et l’Organisation d’États Américains (OEA) à Washington, D.C aux États-Unis.
Le 31 juillet 2014, le CIDH a accepté la demande de révision de mesures conditionnelles sollicitée par le MIRA. La commission a vérifié les cas de menace et harcèlement politique envers les militants du MIRA. En effet, les plus de 500 messages envoyés par le biais des réseaux sociaux (Facebook, Twitter…) ont été une preuve importante pour démontrer que plusieurs membres du MIRA ont été menacés de mort.
Année 2015
Après la violence et les menaces de mort, Carlos Baena a décidé de s’engager en pro de la défense des droits des militants du mouvement MIRA. C’est ainsi que le mouvement a pris la décision de se mobiliser pour la défense active des droits de ceux qui sont poursuivis, harcelés et attaqués à cause de leur religion.
Le travail du MIRA cette année a permis de prouver le courage et l’engagement du parti avec le pays. Nous avons eu l’opportunité d’avoir 3 représentants du mouvement au pouvoir politique, ce qui nous focalise sur la réussite de notre action avec transparence, dynamisme, service et altruisme au service des colombiens.
Dans l’esprit du partage et de cohésion social, le MIRA commence à faire des accords ponctuelles avec des candidats d’autres partis politiques qui pensent et agissent d’une manière similaire au miraistes.
L’inclusion de la politique publique de liberté religieuse, de culte et de conscience au Plan National de Développement (PND) 2014-2018, symbolise une réussite politique importante pour le MIRA. Ceci oblige au gouvernement à prendre en compte et reconnaître les organisations religieuses et leur travail, car elles contribuent au bien-être commun local, régional et national.
1 Le service militaire est obligatoire en Colombie. Le livret militaire est un document qui certifie que la personne a fait son service militaire